Couché comme un pacha, en carpette, tout plat sur le lit, j’attendais mon maître, Seb.
Il fallait absolument que je lui dévoile mon secret ! J’avais hâte de lui montrer mon don fabuleux… Parler comme un n’humain.
Quelle excitation !
Ne pouvant rester sur place, je sautai de la couche de Sebastian, puis, une fois au sol, du haut de mes quatre petites pattes de chat, je commençai à faire le tour de la chambre plusieurs fois…
J’en avais assez d’attendre !
Déjà hier avec la souris qui avait mis le désordre pas possible dans la pièce ! Et qui avait tout pris pour elle ? Moi ! D’ailleurs, pour ce qui est des punitions, mon maître s’y connait bien…
Voilà maintenant une heure que je tournai en rond, j’attendais, j’attendais, j’attendais !
Je ne faisais que ça !
J’en avais plus qu’assez, j’allais désobéir aux ordres stricts de madame Buzzati, j’allais, en dehors des créneaux horaires qu’elle m’avait fixée, sortir de la chambre pour aller dans le couloir…
D’ailleurs, l’envie d’aller dans une salle de cours rien que pour Seb me démangeait…
Mais je ne voulais pas non plus être mis à la porte de l’orphelinat, après tout, je ne connais aucun chat de gouttière dans mon genre qui puisse profiter d’un lit chaud et douillet toute la journée, d’une bonne alimentation saine et équilibrée et tout et tout.
Donc, au lieu de saccager un cours, je préférais me promener dans les couloirs, même si ça aussi était strictement interdit en dehors de mes heures…
D’un bon coup de patte bien placé, j’ouvris la porte de la chambre, je m’engageais alors dans l’allée qui serpentait entre les chambres du dortoir des garçons, lorsque j’entendis soudainement des bruits de pas…
Plein de pas… Ca ne pouvait pas être que Sebastian… N’avais-je donc pas entendu la sonnerie annonçant la fin des cours ?
Etrange, mais bref, passons ceci. Il fallait que je rentre immédiatement dans la chambre numéro 6, car si Seb me voyait lui et ses copains, en dehors de celle-ci alors que ce n’était pas pendant mes heures, peu importe ce que j’aurais à lui dire, cela risquerait de chauffer pour moi.
Alors d’une course effarouchée, j’atteignis la pièce où je logeai avec mon maître.
Puis tel un chat innocent, je m’installais sur mon lit puis je me mis à l’attendre ( encore je sais ), mais il n’avait fallu que peu de temps avant qu’il ne rentre dans la pièce.
Levant la tête vers lui pour le regarder droit dans les yeux, je lui adressai la parole comme si s’était tout à fait normal.
-Bonjour Seb.
Il fallait absolument que je lui dévoile mon secret ! J’avais hâte de lui montrer mon don fabuleux… Parler comme un n’humain.
Quelle excitation !
Ne pouvant rester sur place, je sautai de la couche de Sebastian, puis, une fois au sol, du haut de mes quatre petites pattes de chat, je commençai à faire le tour de la chambre plusieurs fois…
J’en avais assez d’attendre !
Déjà hier avec la souris qui avait mis le désordre pas possible dans la pièce ! Et qui avait tout pris pour elle ? Moi ! D’ailleurs, pour ce qui est des punitions, mon maître s’y connait bien…
Voilà maintenant une heure que je tournai en rond, j’attendais, j’attendais, j’attendais !
Je ne faisais que ça !
J’en avais plus qu’assez, j’allais désobéir aux ordres stricts de madame Buzzati, j’allais, en dehors des créneaux horaires qu’elle m’avait fixée, sortir de la chambre pour aller dans le couloir…
D’ailleurs, l’envie d’aller dans une salle de cours rien que pour Seb me démangeait…
Mais je ne voulais pas non plus être mis à la porte de l’orphelinat, après tout, je ne connais aucun chat de gouttière dans mon genre qui puisse profiter d’un lit chaud et douillet toute la journée, d’une bonne alimentation saine et équilibrée et tout et tout.
Donc, au lieu de saccager un cours, je préférais me promener dans les couloirs, même si ça aussi était strictement interdit en dehors de mes heures…
D’un bon coup de patte bien placé, j’ouvris la porte de la chambre, je m’engageais alors dans l’allée qui serpentait entre les chambres du dortoir des garçons, lorsque j’entendis soudainement des bruits de pas…
Plein de pas… Ca ne pouvait pas être que Sebastian… N’avais-je donc pas entendu la sonnerie annonçant la fin des cours ?
Etrange, mais bref, passons ceci. Il fallait que je rentre immédiatement dans la chambre numéro 6, car si Seb me voyait lui et ses copains, en dehors de celle-ci alors que ce n’était pas pendant mes heures, peu importe ce que j’aurais à lui dire, cela risquerait de chauffer pour moi.
Alors d’une course effarouchée, j’atteignis la pièce où je logeai avec mon maître.
Puis tel un chat innocent, je m’installais sur mon lit puis je me mis à l’attendre ( encore je sais ), mais il n’avait fallu que peu de temps avant qu’il ne rentre dans la pièce.
Levant la tête vers lui pour le regarder droit dans les yeux, je lui adressai la parole comme si s’était tout à fait normal.
-Bonjour Seb.